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Léo Coly, ici face à Oyonnax, a dépanné au poste de 10 contre Toulouse. (J.-B. Autissier/L'Équipe)
Laurent Campistron, à Montpellier
mis à jour le 19 mai 2024 à 12h15
C'est une sorte de rafistolage de fortune dont Patrice Collazo, le manager de Montpellier, se serait bien passé. Celui d'aligner deux demis de mêlée à la charnière face au Stade Toulousain, samedi après-midi, dans un match pourtant décisif pour l'avenir du club (défaite 22-29). Si le champion du monde sud-africain Cobus Reinach a évolué à son poste de prédilection de 9, inscrivant même deux essais dans une partie où il a été loin de tout réussir, Léo Coly, lui, a dû glisser au poste de 10 pour compenser l'absence du titulaire habituel, Louis Carbonel, victime le week-end précédent d'une commotion cérébrale à Castres (défaite 27-26).
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Privé de son ouvreur habituel Louis Carbonel (commotion), le MHR a dû improviser face à Toulouse, samedi, en faisant glisser son demi de mêlée Léo Coly en 10. Un bricolage assez malvenu à ce stade de la saison.
Privé de son ouvreur habituel Louis Carbonel (commotion), le MHR a dû improviser face à Toulouse, samedi, en faisant glisser son demi de mêlée Léo Coly en 10. Un bricolage assez malvenu à ce stade de la saison.